Du samedi 16 au dimanche 17 mai, la rédac’ a participé pour la première fois au Festival Expresso. Entre concours de mèmes, lancers de sujets et karaokés sur la discographie de Queen, on vous revient aujourd’hui sur cet événement riche en couleurs qui a donné naissances à bon nombre d’articles !
Expresso, c’est quoi ?
D’ordinaire organisé en présentiel sur un weekend au gymnase Louis Blanc à Paris, le Festival Expresso s’est transformé en E-xpresso pour cette édition 2020. Dans cette 15ème édition à distance, le festival a réuni des rédactions de la France entière et de structures différentes. Ainsi, journaux collégiens, lycéens, étudiants et de quartiers ou de villes ont pu partager un week-end ensemble ayant pour thématique la presse d’initiative jeune (PIJ) et comme objectif la réalisation d’un journal en 9h (6 officiellement).
À la tête de cet événement, l’association Jets d’encre dont l’objectif est de fédérer, valoriser, développer et défendre la PIJ. Pour y répondre, l’association met en place des actions à destination de tous les journalistes jeunes (dits JJ) qui souhaitent lancer ou faire perdurer leur média. On retrouve ainsi dans la vie de l’association le concours national de la PIJ, Kaléïdoscoop, des temps de formations avec, par exemple, les Im’médias, ou le fameux Festival Expresso.
Demandez le programme
Cette année au programme: deux jours, deux épreuves. L’incontournable contre-la-montre se déroulait ce samedi 16 mai de 15h à 00h pour chauffer les cerveaux et tester l’endurance du journal : l’objectif étant de traiter tous le sujets proposés (société, culture, bonus, libre…) à sa manière et de publier l’ensemble une fois terminé avant minuit.
Challenges photos, animations, cours de gymnastique en direct live, énigmes, blind tests, concours de dessin… L’ambiance que met votre rédaction sur le festival compte autant que vos propositions.
Stress, coups de pression, fous rires… Outre le côté “concours” du Festival, toutes les rédactions travaillent dans un esprit de non-concurrence pour promouvoir la liberté d’expression de la presse jeune et prouver que l’âge ou l’absence de carte de presse n’empêche pas d’avoir un avis et de s’exprimer.
Pour la deuxième et dernière épreuve ce dimanche 17 mai, nous avions rendez-vous sur le serveur Discord du festival de 9h à 13h30 pour présenter notre rédaction et raconter ce qu’elle défend, ses sujets emblématiques…et aussi, pour faire un petit compte-rendu sur comment nous avons (sur)vécu à ces deux jours riches en nouvelles expériences.
https://youtu.be/43PIvQryCG8
32h avec Curios’IUT
Samedi 16/05, 10h30 : c’est l’heure de tester le serveur Discord, un dernier check des micros et c’est parti !
11h30 : Mary Shelley n’a qu’à bien se tenir, nous aussi nous avons créé un monstre avec notre photomontage.
15h10 : Le premier lancer de sujet, on part avec de grands projets : 4 articles pour 1 sujet.
16h45 : On a hacké le game en trouvant la réponse au jeu de piste et découvert le 2ème sujet… sans suivre les pistes.
17h45 : On apprend même qu’on a été les premiers à trouver le sujet… la fraude, quel plaisir !
20h45 : Blind test de films, ça tourne mal. L’animation se transforme en karaoké Queen avant d’être coupée par le dernier sujet.
21h40 : 2h pour mettre en page et publier 10 articles… la mission sera-t-elle remplie ?
22h30 : La rédac’ est au summum de la concentration pour créer sa nouvelle oeuvre : une compilation de mèmes et faire des templates avec des dossiers made in Curios’IUT.
23h55 : Le dernier mème est créé… il ne reste plus qu’à publier !
Dimanche 17/05, 9h : Le réveil pique, tout le monde attend les consignes de la Minute Rédac avec impatience… et beaucoup de stress.
11h : L’instant où tout commença, le cassoulet sera roi dans notre vidéo.
13h20 : Dernières voix off ajoutée, l’exportation est lancée ! Spoiler : on a utilisé le mauvais format et entraîné une avalanche de retard.
18h : Après moultes péripéties et batailles avec Youtube pour mettre en ligne toutes les vidéos, les orgas nous présentent enfin toutes les créations… et c’est nous qui commençons !
18h02 : “curios’iut > la com’ de la région Occitanie”. Mission accomplie, l’effet cassoulet a fonctionné.
En bref, nous avons réussi à finir toutes les épreuves à l’heure et, surtout, nous avons profité, découvert et même été surpris de voir un réseau si grand et diversifié de la presse jeune avec des journalistes motivés pour se faire entendre et se réunir tous ensemble. Une question subsiste malgré tout : pilule rouge ou pilule bleue ?