Concrètement qu’est ce que cela changerait ? D’après l’université fédérale de Toulouse, “rien ne changerait”, les campus actuels persisteraient. Le but est, je cite, tenez-vous bien “un regroupement au sein d’un grand établissement dont le statut dérogatoire permettrait de conserver une autonomie des membres, à travers le maintien de leur personnalité juridique.” À première vue, assez sympa non ?